Le retour du loup a vu se mettre en place de nombreuses analyses génétiques sur les excréments afin d’identifier la présence de l’espèce dans de nouveaux secteurs et d’estimer la taille réelle de la population de loups. Retour sur l’historique des analyses génétiques et sur la description du jeu de données datant de 1994.
http://www.loupfrance.fr/pdf/Bulletin-Reseau-Loup-2008-N18_methodologie.genetique(1).pdf
En combinant les analyses génétiques des crottes permettant de relier une crotte à un individu et les statistiques, les chercheurs sont capables de déterminer les effectifs des populations de loups en tenant compte de la probabilité de détection de chaque crotte (capture marquage recapture, CMR).
http://www.loupfrance.fr/pdf/Bulletin-Reseau-Loup-2008-N18_methodologie.genetique;effectif;EMR.pdf
Finis les séquenceurs qui reposent sur le principe de mesure des longueurs de séquences ADN spécifiques du génome. Place aux séquenceurs nouvelle génération (NGS) qui permettent de séquencer des milliers d’échantillons par semaine et de lire intégralement les fragments d’ADN ciblés. Retour sur l’utilité du séquençage pour le suivi des populations, ainsi que sur les avantages et inconvénients des différentes méthodes.
http://www.loupfrance.fr/pdf/Bulletin-Reseau-Loup-2016-N34_methodologie.genetique.pdf